Retour à San Andreas! Récent ans après nous acquérir conté l'histoire de Ut. J. dans les quartiers miteux de Los Santos, Rockstar réveille son Los Angeles virtuel, comme celui-ci le fit avec Liberty City dans GTA IV. Réinvitée, repensée, la sélectionné des anges est devenue immense. Symbole de l'ambition du studio, la map couvre une surface effrayante, sans commune mesure avec les précédents open worlds signés de l'équipe écossaise. Le tout Hollywood (Vinewood dans le jeu) se révèle être là, et si l'aire urbaine n'habite qu'environ 20% de la carte, la majorité des 80% restants n'ont rien d'une flore abandonnée. Toute pixel est susceptible d'accueillir une activité, qu'elle se retrouve humaine ou animale, du désert de Grand Senora, véritable tiers-monde peuplé à travers des coyotes à Blaine County, prisé par la majorité des amateurs d'escalade et différentes touristes abonnés au téléphérique. Et le cœur du Los Santos n'est pas en reste, riche de nombreux divertissements et reproduisant à sa sauce des lieux bien connus tels que Venice Beach ou Downtown. Terminez l'histoire et GTA V continuera de passer, au rythme de ses milliers de PNJ, grouillants tels des abeilles dans un monumental essaim lequel se découvre progressivement, en brouillard de guerre.
Afin de la première fois avec l'histoire de la gamme, le joueur contrôle cinq personnages. Une nouveauté laquelle en amène un masse d'autres laquelle influe automatiquement pas mal à propos de la adoucissement et sur le trame. Aux commandes de Michael, nous découvrons la vie d'un quarantenaire, braqueur de banques repenti, qui non doit sa paisible recul qu'à un accord grace à l'équivalent du FBI. Père de famille médiocre, Michael est en conflit perpétuel avec l'humanité. Incapable d'assumer ses actes, le aux commandes d'une petite villa au nord de Los Santos est apte à enchaîner les headshots à cette manière de John Marston dans Red Dead Redemption. Franklin est déjà à vocation plus en retrait. Enfant du ghetto, il gagne sa vie en vendant un ensemble de voitures puis… en les volant pour son patron. Pilote chevronné, sa savoir-faire lui permet de ralentir le temps pour zigzaguer en matière de trafic à la totalité de berzingue. Enfin, Trevor est dans une grande proportion le personnage un plus haut en grain. Psychopathe de son état, tueur sanguinaire, il vit au sein de une roulotte et se shoote à l'essence. Incontrôlable, auto-destructeur et menace de sorte à la terre entière, ce dernier fut pilote dans l'armée avant d'être déclassé. Logiquement, sa haine permanente lui permet d'entrer dans une transe qui double la majorité des dégâts qu'il cause mais aussi atténue ceux qu'il encaisse. Une vraie machine à faire une place en ce qui concerne la planète bleue.
Outre ces capacités spéciales, succinct j'estime d'ailleurs largement sous-exploitées durant l'aventure, chaque héros voit ses caractéristiques évoluer avec la pratique. Courez et vous deviendrez mieux endurant, plongez et un apnée se développera, pilotez pour maîtriser les transportation aériens… De fait, l'architecture du jeu est mieux complexe que celle de nombreuses précédents GTA. Bien qu'ils sont amenés à se croiser encore et encore et à bosser assemblage, chaque perso a notre propre vie, ses particulières habitudes, sa propre emploi. Et dans un souci de cohérence, Rockstar a fait sous sorte que chacun conserve son look, malgré un ensemble de possibilités de personnalisation mises. Si Michael est acclimaté aux costards-cravates, Franklin a davantage une allure du gangsta et Trevor celle d'un type qui n'a ni machine à astiquer ni goût pour cette mode. Entrez dans un magasin de fringues et vous pourrez remédier à tout cela. Même chose pour la majorité des salons de coiffure, de retour, et qui adaptent à eux offres au type sommaire vous incarnez. Modifier un avatar est donc qui soit, mais péter la cohérence de l'univers ne l'est pas. Et c'est très bien comme ça. Néanmoins au fait, comment passe-t-on de l'un à l'autre? Une simple pression en ce qui concerne la croix directionnelle propose d'afficher un switch enfin de sélectionner le clephte à incarner. Hors fonction, l'opération est possible constamment mais prend 20 belles secondes, le temps qu'un dézoom et rezoom s'opère à propos de la map. Plus solidité que ça, tu meurs. Le souci du détail est tel que votre personne retrouvez toujours le personnage en mouvement. Il m'est arrivé entre autre de déranger dans Trévor lorsqu'il s’apprêtait à balancer un mode depuis un pont au-dessus du freeway ou du cuver en slip en ce qui concerne une île perdue au téléphone milieu de nulle part.
En mission, le termes conseillés est tantôt automatique vu que scripté, tantôt fortement suggéré par la mise en scène, ou carrément organique. Et si les type sont à proximité l'un de l'autre, la transition est immédiate, sans conséquence superflu. Ainsi, vraiment si les embranchements ne se présentent comme pas si nombreux que cela, une mission peut être vécue plus ou bien moins différemment selon ces choix de switch. Dans les faits, cette feature offre surtout la possibilité de couvrir environ sujet ou de modérer les allées et venues au cours de gunfights qui se trouvent être partis pour durer. Dont qu'il en soit, les missions qui font recensement aux trois héros parallèlement sont assez rares et la position des mecs tellement définie par rapport aux switchs ne sont pas autant de la volonté du joueur que de celle-ci des développeurs. Et pour preuve, le switch est de temps à autre impossible. Assez dirigiste, cette fonction n'en reste pas plus longtemps moins diablement efficace et franchement jouissive. D'autant que Rockstar a tout prévu et que si l'un des persos que vous en votre for intérieur n'incarnez pas est en difficulté, code couleur & indication sonore vous un signalent, le temps pour vous de le avoir et de régler bruit problème (une couverture défaillante, une vague d'ennemis abusivement massive, etc. ).
Si le jeu comporte 70 missions principales d'une peu fréquent qualité, les plus marquantes sont celles qui concernent Michael, Trevor et Franklin à la fois. Et les à vocation plus riches et soignées se présentent comme de toute évidence la majorité des braquages, qui nécessitent préparation, choix tactiques et recrutement de renforts. J'aurais aimé qu'il y en tienne davantage, mais un hold-up peut demander trois ou bien quatre missions en source avant d'être réalisable. Domine ce rythme, on ne peut s'étonner qu'il n'y en tienne pas une ribambelle. Ainsi, avant d'être prêt dans dévaliser une bijouterie ou à attaquer un tisonnier blindé, vous devrez pratiquement vous fournir en boule, véhicules (des plus standards aux plus improbables, comme un sous-marin), masques et aussi combinaisons, voire même prendre des photos des caméras de surveillance ou relatives au l'emplacement de l'alarme. Chaque détail compte et qualité de vous n'avez pas total planifié, la mission pas peut commencer. Un jour ce matos réuni, Lester, un cerveau de la bobine, vous présente un toile criblé de photos, du données, de plans divers et variés. A l'issue de son explication, dans vous d'opter pour l'une des deux approches proposées, bourrine ou furtive entre autre. Un choix cornélien qui n'a rien de frustrant puisque l'intégralité des responsabilités du jeu peut-être rejouée, à la fois pour scorer & dans le but de réussir en adoptant une méthode différente.
Il votre personne incombe également de recruter des éléments supplémentaires. Et s'il n'est pas qui soit d'en exposer les bases nombre ni la fonction, c'est en ce qui concerne la fiabilité du complice que vous allez nécessiter trancher. Ainsi, un pilote peu expérimenté et ainsi, potentiellement médiocre, ne demandera qu'une petite part de butin. A l'inverse, miser sur un chauffeur opérant vous coûtera vraiment d'argent. Dans les faits, nous-mêmes n'ai cependant jamais sincère qu'un braquage était mieux facile avec des genres onéreux ou plus compliqué grace à des noobs. J'ai donc préféré économiser du fric et tout s'est correctement passé. Cela dit, un principe est vraiment cool et permet de rompre la linéarité de la progression. C'est aussi à travers ce biais des braquages que vous allez surcharger votre compte en don et contrairement aux différentes GTA, celui-ci se accomplit très tôt au sein du passe-temps, de sorte à un que vous baladiez grâce à un véritable arsenal du munitions et un mise pare-balles à 2. 000 $ dès les 1ères heures de bluff. Un pièce qui vous permettra d'ailleurs d'investir dans des propriétés ou des commerces locaux (société de taxi, cinéma, etc. ), pour stocker vos véhicules ou continuer dans engranger des tunes.
Un gameplay de GTA V reste assez proche relatives au GTA IV. Il est en réalité une évolution du ce dernier, corrigeant pas mal de défauts, améliorant l'animation, fluidifiant les déplacements et les affrontements. Ainsi, les persos sont de toute évidence moins lourds, correctement que se mouvoir dans un espace étriqué donne toujours lieu à des situations cocasses, à des glissades ridicules ou à un ensemble de embrassades de murs bien involontaires. Les développeurs ont toutefois fait en variété qu'en intérieur, les allées et venues soient toujours plus assistées. Mais relatives au cette souplesse, ils sous profitent surtout durant la majorité des gunfights, car davantage capables de s'adapter de apparence environnante. Et c'est notre nécessité dans la occasion où certains murs sont devenus destructibles et donc, des couvertures seulement temporaires. Bien aidé par notre visée semi-automatique, le turfiste n'a toutefois aucun mal à se défaire d'une IA certes, supérieure sous nombre, mais pas très fine. Il doit juste s'attacher à multiplier la majorité des headshots pour éviter qu'un blessé ne continue de le shooter dès lors dans terre. Les armes pour lesquels vous trouverez on dispose, customisables de surcroît (silencieux, suppresseurs, flambeau, etc. ), suffisent du toute façon amplement à la tâche: Beretta, Uzi, AK-47, fusil de vénerie ou de précision mais aussi lance-roquettes, grenades paralysantes ou bombes collantes sont au programme. Et maîtriser cette complémentarité de tous ces diverses jouets peut rendre les gunfights franchement faciles, convenablement que toujours très intenses.
La conduite à quelques roues a connu un même sort, à connaître qu'elle reprend les racines de GTA IV mais aussi gagne en souplesse. Divers la trouveront trop voûte, mais les gabarits sont plutôt bien respectés. On a simplement perdu ces suspensions surréalistes et donc latence de la direction, – profit d'un pilotage plus nerveux et plus précis, et d'une motricité décuplée, ce qui permet de grimper certaines difficultés à vocation plus aisément, au détriment de réalisme cependant. Mais se balader en bagnole est presque devenu has-been dans GTA V tant la majorité des transports aériens sont recouvert en avant. Taille du la map oblige, vous serez souvent tenté du voler ou commander un hélico pour vous déplacer d'un point A à un point B, si vous souhaitez parer à toute taxis, bien plus pratiques mais forcément moins fendarts. Les modèles sont plus nombreux que jamais mais spécialement, il est possible relatives au conduire des avions relatives au ligne en se débrouillant bien, un véritable élucubration pour tout fan de GTA, ayant déjà essayé de détourner un Boeing sur la piste de ce Francis International Airport du quatrième épisode! Et lorsque vous obtiendrez débloqué la savoir-faire, suite à quelques missions grandes en adrénaline, vous pouvez sauter en parachute dans tout moment depuis votre monture et admirer la totalité de Los Santos le célérité d'une chute interminable. Le base-jump de Ballad of Gay Tony peut se rhabiller. https://fr.gta-5-pc.com/
Comme dans GTA IV, nos héros jouissent chacun d'un smartphone, lequel leur permet de accueillir mails et SMS de leurs contacts, d'appeler un taxi, de prendre des photos voire même de naviguer en ligne. Un Web recevable plus vrai que terre, qui donne accès à tout un tas de services. Espionnez vos amis sur un simili-Facebook, recommandez voitures et transports aériens par Internet, faites-vous présenter chez vous, spéculez sous bourse pour gagner relatives au l'argent (nécessaire à acquérir certaines propriétés complètement hors de prix), etc. Relatives au toute évidence, Rockstar s'est servi de cette indienne improbable pour en réaliser sa tribune et parodier à sa sauce la majorité des nombreux sites et interventions qui polluent internet d'aujourd'hui. Facebook et Apple sous prennent notamment plein ces dents et ce pas sont pas les seuls. L'outil reste complètement divaguant mais également fonctionnel.
Je défie quiconque de s'ennuyer entre deux missions principales. Outre les quêtes approfondis, certains événements aléatoires se produisent sous vos globes occulaires (à la Red Dead Redemption) et nécessitent de temps à autre une interaction du part. Quelques-uns sont même franchement scénarisés et peuvent écarquiller de nouvelles missions dans nos trois malfrats. Quand vous croisez deux fripouilles en train de dépouiller une touriste, venez-lui en aide, quitte à garder l'argent pour vous. Élément paquet d'illuminés, situés là et là, auront des requêtes à vous donner, comme ce vendeur sous immobilier qui vous placet d'arracher 15 panneaux relatives au vente de son antagoniste de manière croissante dans Los Santos. Mais ce n'est pas plus longtemps tout, puisque les action sont plus nombreuses sommaire jamais: Manèges, boutiques du fringues, salon de tatouage, garage de tuning, téléphérique, école de pilotage, cinéma, strip-club, fléchettes, coiffeur, grands prix nautiques ou tout-terrain, sauts en parachute, tennis, triathlon, golf… Bref, la map déborde de possibilités et au final GTA ressemble à vocation plus à un MMO qu'à un jeu d'action. Le qui ne devrait pas plus longtemps déplaire aux fans de la série…
Evidemment, le portage de GTA V sur la nouvelle génération de consoles s'accompagne d'un net remodelage graphique. Désormais en 1080p 30 fps, le statut de R* est sublimé des capacités des machines actuelles. La distance d'affichage est donc nettement ajoutée, cela permet une diminution significative du clipping au sein de les éléments les mieux massifs, sur les aboutais, les montagnes, sans de sorte à autant le supprimer complètement. L'aliasing a lui pareillement franchement chuté, le travail sur les textures étant assez titanesque, notamment en ce qui concerne les visages. Traits, habits, accessoires, tatouages, tout se révèle être beaucoup plus fin, travaillé. Un jeu est aussi plus fluide que sur PS3 et 360, le framerate n'étant ballotté qu'en fonçant à toute berzingue grâce à une automobile de course au milieu du trafic de ce centre de Los Santos. J'ai d'ailleurs noté que les piétons étaient plus nombreux et mieux texturés. Et, plus globalement, toutes les animations ont existé améliorées, qu'il s'agisse de nombreuses expressions faciales ou de la flore. La gestion des lumières est miss aussi meilleure, sur les carrosseries des voitures, en napperon et autour de projecteurs, au niveau du cycle jour / nuit, et autres. Bref, l'expérience graphique mais aussi technique est encore meilleure sur PS4 et Xbox One et pourrait justifier à elle seule de revivre les aventures relatives au Michael, Trevor et Franklin. Mais il y année encore mieux…
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